Si vous (avez) travaillez dans le secteur du déménagement, vous recevrez une prime de fin d’année de votre employeur au mois de décembre. Pour cela, vous devez toutefois remplir un certain nombre de conditions.
Vous trouverez ci-dessous les réponses aux questions les plus fréquemment posées sur la prime de fin d’année (FAQ).
1. Quel est le montant de la prime de fin d’année que vous recevrez ?
170 x salaire horaire réel payé au mois de décembre x nombre de mois d’activité.
Le treizième mois correspond à un nombre d’heures déterminé dans un contrat.
- Ce nombre d’heures est divisé par 12 et multiplié par le nombre de mois d’emploi au cours de l’année.
- Chaque mois au cours duquel 14 jours civils de prestation de travail sont fournis est considéré comme un mois complet.
- Le montant total peut être réduit de 1,24 € par jour d’absence injustifié.
- Les jours de congé et les jours de chômage partiel sont assimilés à des jours de travail.
- Le salaire de référence pour ces heures est égal à celui effectivement payé au mois de décembre de l’année concernée.
- Le paiement est effectué au plus tard le dernier jour ouvrable du mois de décembre.
2. Quel est le montant net que vous conserverez ?
Cela dépend de votre situation familiale et varie donc d’une personne à l’autre.
3. Qui a droit à l’aide ?
Les salariés qui remplissent les conditions suivantes :
- à la date du paiement, sont effectivement employés dans l’entreprise ;
- au moment du paiement, avoir au moins six mois d’ancienneté dans l’entreprise.
4. Ont également le droit :
- Les salariés concernés qui ont obtenu le chômage avec le régime d’allocation d’entreprise pour les salariés au cours de l’année civile en question ou qui ont été mis à la retraite ;
- les salariés concernés qui sont décédés au cours de l’année civile concernée ;
- les travailleurs concernés qui ont été licenciés pour un motif autre que ceux mentionnés au point 2) de l’article 6.
- les salariés concernés dont le contrat de travail prend fin pour cause de force majeure. La période de référence et la base de calcul au prorata sont la dernière année civile au cours de laquelle il y a eu des prestations de travail effectives.
5. Qui n’y a pas droit ?
Travailleurs :
- qui ont volontairement quitté l’entreprise ;
- qui ont été licenciés sans préavis et pour des raisons urgentes ;
- qui ont été malades pendant plus de six mois et ont bénéficié de la totalité des
allocations complémentaires prévues par le Fonds Social pour la même maladie.